Tu t’es peut-être déjà retenue.
De dire que tu étais fatiguée.
Que tu avais crié. Que tu en avais marre.
De peur qu’on te regarde autrement.
Tu t’es peut-être déjà demandé :
“Qu’est-ce qu’on va penser de moi si je dis ça ?”
“Est-ce que je vais passer pour une mère trop fragile, trop instable, trop... humaine ?”
Si tu t’es déjà tue alors que tu avais besoin de parler,
cet article est pour toi.
1. D’où vient cette peur d’être jugée ?
Cette peur, elle ne vient pas de nulle part.
On grandit dans une société qui valorise les mères solides, disponibles, stables, tout le temps.
On nous a appris très tôt que “bonne mère” = patiente, douce, constante…
et surtout : jamais à bout.
Alors quand tu traverses une tempête intérieure,
tu ne la montres pas.
Tu souris. Tu dis “ça va”.
Tu fais bonne figure, même quand tout explose dedans.
Mais cette peur du regard des autres…
elle finit par devenir un regard dur sur toi-même.
Et ce que tu caches aux autres,
tu finis par ne plus oser te l’avouer non plus.
2. Ce que cette peur nous pousse à faire (ou à taire)
Quand tu as peur d’être jugée, tu fais des efforts invisibles :
Tu tires sur la corde pour ne pas paraître dépassée,
Tu minimises ce que tu ressens (“je dramatise sûrement”),
Tu gardes pour toi ce qui aurait besoin d’être partagé.
Et tout ça te coûte.
- Mentalement : surcharge.
- Émotionnellement : isolement.
- Humainement : tu disparais un peu dans ton propre rôle.
À force de vouloir être irréprochable, tu oublies que tu es aussi une femme vivante, en mouvement, en apprentissage.
3. Reprendre sa place sans se justifier
La vraie force, ce n’est pas de ne jamais douter.
C’est de se laisser exister même dans le doute.
Tu as le droit de dire :
- “Je suis fatiguée.”
- “Je suis perdue.”
- “Je n’ai pas aimé comment j’ai réagi tout à l’heure.”
Et tu as le droit de dire tout ça sans avoir à tout expliquer.
Sans t’excuser d’exister autrement que dans la version “parfaite”.
Reprendre ta place, c’est pas devenir une autre.
C’est oser habiter pleinement celle que tu es.
Même quand tu ne sais pas.
Même quand tu te cherches.
Même quand tu pleures dans la salle de bain avec la porte fermée.
Tu n’as rien à prouver.
Tu peux juste dire “voilà où j’en suis aujourd’hui” — et c’est déjà beaucoup.
J’ai créé une mini-checklist à cocher (ou juste à lire).
Pas pour en faire plus.
Mais pour te rappeler tout ce que tu portes — en silence, sans validation, sans applaudissements.
📋 Ce que tu fais compte. Même si personne ne te le dit.
Même si tu crois que ce n’est “pas grand-chose”.
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C’est la ressource partagée le 11 août, mais tu peux explorer toutes celles qui t’appellent.
Parce que non, tu n’as pas besoin de faire plus pour mériter qu’on te voie.
Tu peux juste commencer par te reconnaître, toi.
Avec douceur,
Eloïse & Anaïs de chez Mum Zen
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