Tu l’as dit combien de fois cette phrase ?
“J’aimerais bien… mais là j’ai pas l’énergie.”
“C’est pas le moment, je suis trop fatiguée.”
“Je le ferai quand j’aurai un peu plus de temps.”
Mais le temps ne vient jamais.
L’énergie non plus.
Et à force d’attendre d’aller mieux pour bouger,
tu t’épuises en silence, sans rien changer.
Dans cet article, je veux t’offrir une autre voie.
Pas un truc de plus à faire.
Juste un autre espace intérieur, où tu peux te poser enfin,
sans avoir à tout mériter.
1. Pourquoi l’épuisement devient une norme silencieuse
Il y a cette idée qui s’est glissée dans le rôle maternel :
Si tu es crevée, c’est normal.
Si tu ne t’arrêtes jamais, c’est parce que tu es forte.
Si tu t’oublies, c’est que tu es une bonne mère.
Et petit à petit, l’épuisement est devenu une condition de base.
Une sorte de “bruit de fond” auquel tu ne fais même plus attention.
Tu vis avec. Tu avances avec.
Et tu te demandes parfois si c’est toi qui exagères.
Mais non.
Tu n’exagères pas.
Tu es juste en train de tenir un monde invisible.
2. Ce que ça coûte de “tenir”
Tu tiens.
Mais à quel prix ?
Mentalement : surcharge constante, zéro clarté.
Émotionnellement : culpabilité, doute, solitude.
Physiquement : tension, fatigue chronique, corps ignoré.
Et ce qui est le plus dur, c’est que tu crois que tu ne peux pas faire autrement.
Parce que faire autrement… ça demanderait plus d’énergie.
Et tu n’en as déjà plus.
Mais la vérité, c’est que ce n’est pas d’énergie dont tu manques.
C’est d’un autre espace.
Un espace où tu n’as pas à performer.
Pas à tout comprendre.
Pas à être parfaite.
Juste à exister, là, comme tu es.
3. Ce qui allège vraiment (et ne prend pas plus de temps)
Ce qui change les choses, ce ne sont pas les grands virages.
C’est un souffle.
Un silence.
Un moment où tu cesses de tenir.
Et ce moment-là, tu peux l’installer en 4 minutes.
Pas pour t’améliorer.
Pas pour réparer.
Mais pour respirer différemment.
🎧 Je t’ai enregistré un petit audio pour ça :
“Revenir à toi (en 4 minutes)”
Pas un outil.
Pas une méthode.
Juste une voix qui te dit que tu as le droit de t’arrêter.
📩 Tu veux l’écouter ?
Clique sur ce lien
C’est la ressource partagée le 24 août, mais tu peux explorer toutes celles qui t’appellent.
Tu n’as pas besoin de plus d’énergie.
Tu as juste besoin de ne plus être seule dans cet endroit-là.
Avec douceur,
Eloïse & Anaïs de chez Mum Zen
PS : Tu peux partager cet article à une femme qui dit sans arrêt “j’ai pas le temps”,mais dont le regard te dit surtout :
“J’en peux plus.”
Parfois, 4 minutes suffisent à rouvrir une vraie respiration.
Ton chemin vers une vie de famille épanouie pourrait être à portée d’un simple message...
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